Mon carnet de route

 

lundi 30 mai 2011

Bilan fin mai 2011

Bonjour,

Aujourd'hui, vu que je ne roulerai pas ce soir, je fais le point à la fin du mois de mai après mon objectif de l'année : le raid Paris-Roubaix VTT.


Janvier à Mai20102011
Distance parcourue911,32 km1608,20 km
Durée totale50h3482h01
Moyenne18,02 km/h20,14 km/h
Nombre de sorties2235
Distance sortie moyenne41,42 km45,95 km

Sur les cinq premiers mois de l'année 2011, je suis largement en avance par rapport à l'année 2010. Sur cette période, on voit que la distance par sortie est plus élevée et la moyenne est aussi plus élevée. Les entrainements de Direct Pro Training portent leurs fruits sur le long terme. Il faut que je continue sur cette voie.

Le prochain objectif sera de perdre du poids et de gagner en vitesse sur des distances plus grandes. En route pour la fin de l'année.

@ bientôt. 

mardi 24 mai 2011

Arpajon > Vaugrigneuse > Arpajon

Bonsoir,

Ce soir, une nouvelle petite sortie pour se détendre après une journée de travail.

Vu que j'ai envie de faire court, je pars avec pour objectif Angervilliers. Mais un petit vent de nord/nord-ouest un peu frais me fait raccourcir ma sortie. Je tourne en direction du Marais au niveau de Vaugrigneuse. Cette fois-ci, je fais l'impasse sur mon fil rouge pour rentre au plus vite. J'avais un peu froid.

Mais avant de changer de direction, j'ai fait une petite photo des "vaches franciliennes" pour Veloblan.

"Vaches franciliennes"
Sur le retour, en remontant sur Egly, après Port-Sud, la route devient un vrai terrain de cyclocross. Tout d'abord, j'ai eu le droit aux traditionnels gravillons collés au bitume pour boucher les trous de l'hiver. Vu qu'ils ont mis cela en travers de la route, j'ai le droit à une succession de mini dos d'âne. Génial.

Mais ce n'est pas fini, le Conseil Général a décidé de refaire la voirie du Vieux Egly. Bilan, ce soir, la route a été creusée pour permettre de mettre le nouvel enrobé. En attendant le nouveau billard, c'est plus un champ de mines à la fois pour les voitures, mais aussi et surtout pour les deux-roues. Normalement, ce week-end, la route sera toute belle.

@ bientôt.


Température : 21°C - Cad moyenne : 78 tpm - FC Moy : 133 puls - FC Max : 162 puls - 28 km

dimanche 22 mai 2011

"Le Marnais Voyageur", mise à jour 2011

Hello,

Et oui, déjà une mise à jour 2011 pour ma randonneuse de 2010. A la base, elle devait être légère. Je voulais juste échanger mon plateau de 48 dents par un plateau de 40/42 dents pour pouvoir mouliner plus. Le 48 dents était trop long pour ma puissance actuelle. 

Associé à ce changement de plateau, j'ai aussi demandé la dépose des porte-bagages (cf ce post) afin de gagner en poids et ainsi partir plus loin découvrir le monde. Je pense que je remettrai le porte-bagage arrière lors de BRM ou autre. Le porte-bagage avant sera, lui, utilisé lors de vélo-voyage si un jour je me lance.

Le Marnais Voyageur en version 2011. Il est plus racé. N'est-ce pas ?
Je voulais conserver mon feu arrière de porte-bagage. La société allemande Busch and Muller propose une pièce en alu pour le fixer au collier de selle. Mon vélociste n'était pas très emballé. Il a donc cherché, et trouvé, une pièce en plastique. Je n'en connais pas la marque.

Fixation sur tige de selle de feu de porte-bagage arrière.
Comme on peut le voir aussi sur la photo ci-dessus, le collier de selle a disparu. Mon vélociste avait identifié une faiblesse du cadre au niveau du tube de selle. Il a préféré le renforcer et en a profité pour mettre une vis au niveau du cadre. Ça fait plus randonneuse ;)

Je n'ai pas pesé mon vélo dans cette configuration, mais je pense qu'on doit être autour des 13 kilos.

@ bientôt sur les routes.

A la poursuite du coquelicot rouge

Ce matin, je suis parti pour faire une séance de bosse avec pour objectif de retrouver mes repères sur ma randonneuse et aussi de ramener des photos.

Je pars donc comme d'habitude par Ollainville. Au niveau de La Poste d'Arpajon, un connard à quatre roues me coupe la priorité. Si je n'avais pas sauté sur les freins, je pense que la sortie aurait été courte. Mais plus de peur que de mal. Ils ont été assez surpris les automobilistes qui avaient leur fenêtre ouverte car j'ai exprimé mon mécontentement...

Je continue ma route et je commence la séance de mes photos avec un thème que je vous laisse deviner.

Premier essai sur des coquelicots proche de la fanaison.
Un peu plus loin, je rencontre quelques touches de rouge. Je ressors mon appareil photo.

Coquelicots plus vigoureux
Je pars ensuite en direction de la Fontaine aux Courson. Sur le chemin à la faveur d'un arrêt photo, je suis rattrapé par un groupe de cyclo de Savigny-sur-Orge que j'accompagne 2 kms avant que nos chemins se séparent. J'ai bien aimé ce petit moment à l'arrière de leur peloton.

Les coquelicots ayant causé mon incorporation dans un peloton.
En direction du Marais, je suis doublé par un cyclosportif peu aimable. Je me fais plaisir en prenant sa route. Le pauvre, il n'a pas du comprendre ce que foutait une randonneuse à 36 km/h dans la roue de son carbone. Ce petit jeu me permit de rattraper un couple de cyclotouristes qui partaient pour un tour de 100 kms avec pique-nique au milieu; un programme bien sympa.

L'homme avait un Cycle Perrin. On a échangé pendant près de 5/6 km et deux bosses nos ressentis et nos vision du vélo. Il revenait un tour le faisant aller du Puy-en-Velais à Montauban. J'ai ainsi mieux compris son aisance dans les bosses. Après la deuxième bosse, il s'est arrêté pour attendre sa dame. Ce fut un moment très sympa. J'aime ce genre de rencontre. Malheureusement, je n'ai pas pu m'arrêter pour prendre mon fil rouge en photo. Ce sera pour la prochaine fois.

Un peu avant de monter en direction des Emondants, je m'arrête pour shooter plusieurs champs de coquelicots.

Un mur rouge coquelicot
Un champ tout de rouge vêtu
Un autre champ parsemé de rouge.
Je continue donc en direction du plateau annonçant la Beauce. Je tourne à gauche après avoir jouer un peu avec un cyclo qui revenait comme une flèche sur moi, mais qui a calé à 50m. Je l'ai gardé à 50m de moi, jusqu'à ce qu'il craque. Je sais, c'est méchant. Pardon, je ne recommencerai plus.

A La Briche, il y avait un vide-grenier, donc c'était un peu zone de guerre au milieu de nulle part. Des voitures à droite, des voitures à gauche et pas toujours bien garée. Mais à bicyclette, ça passait sans problème.

Je m'arrête à un lieu-dit qui porte bien son nom en cette période de sécheresse. Cela me permet aussi de faire la première photo du Marnais Voyageur nouvelle version.

Original comme nom en période de sécheresse.
Je finis mon parcours en passant par Torfou et son petit étang où je surprends un héron cendré en plein envol.

Héron cendré au décollage.
Pour finir, je descend sur Lardy où je tape un beau 64 km/h. (Un jour, j'aurais le record de Darko).
Enfin, je grimpe la bosse entre Lardy et Cheptainville. Un cyclosportif me dépasse vite mais prends le temps de me féliciter sur la beauté de ma randonneuse et surtout du moyeu Rohloff. Encore une rencontre bien sympa.

Voilà une belle sortie comme j'aimerai en avoir bien plus.

PS : Ah oui, le thème de mes photos était bien sûr les coquelicots. La fleur préférerai de mon Petit Coeur et de sa maman.



Température : 21°C - Cad moyenne : 79 tpm - FC Moy : 146 puls - FC Max : 175 puls - 47 km

vendredi 20 mai 2011

Arpajon > Angervilliers > Arpajon

Ce soir, je suis ressorti pour la première fois après le Raid Paris Roubaix VTT. Pour l'occasion, j'étrennais ma randonneuse revue et optimisée pour être plus roulante et plus légère.

Après quelques kilomètres à tâtonner pour retrouver mes repères au niveau des vitesses du Rohloff, j'ai ensuite pu profiter de ma randonneuse.

Je suis content du résultat de l'optimisation (qui fera l'objet d'un prochain post). Je pense que j'aurais encore quelques éléments à améliorer, mais ce ne sont que quelques petits détails.

Au cours de cette sortie, j'ai amené mon appareil photo et j'ai shooté mon fil rouge.

Fil rouge es-tu là ?
Sur la fin du parcours, j'ai fait un arrêt pour prendre en photo un véhicule faisant très américain.

Un bien  beau truck américain.
@ bientôt.


Température : 23°C - Cad moyenne : 81 tpm - FC Moy : 137 puls - FC Max : 164 puls - 33 km

jeudi 19 mai 2011

Paris-Roubaix VTT - 14/15 Mai 2011 (suite)

Bonjour,

Aujourd'hui, j'ai reçu les photos que j'ai commandé à Jadisflash. La qualité est top et je suis presque souriant dans l'effort.

Les deux premières photos ont été prises au km 35 dans un secteur pavé.

Concentré dans l'effort

Un petit salut à la photographe

La troisième et dernière photo a été prise sur le Vélodrome de Roubaix dans le premier virage où j'ai fait l'effort de rester sur la piste.

Un petit sourire de joie dans le premier virage du Vélodrome.
Voilà, le 3ème raid Paris-Roubaix VTT est terminé. Le prochain aura lieu en 2013 pour le VTT. Mais pour les cyclos, c'est l'an prochain.

Encore merci à Christine et Patrick d'avoir organisé ce beau week-end pour la bande des Velotrainer. Merci à Sylvain de Direct Pro Training qui m'a permit de finir en excellente condition malgré le vent et la distance. Et merci au Velo Club de Roubaix pour son organisation sans faille et ce beau parcours.

@ bientôt.

lundi 16 mai 2011

Paris-Roubaix VTT - 14/15 Mai 2011

Bonjour,


Encore un bon week-end VT.

Samedi 14 mai 2011

Arrivée samedi vers midi à Roubaix pour organiser la logistique du lendemain niveau voiture et cie. Vu mon heure d'arrivée, je n'ai pas pu visiter les douches que le reste de la bande arrivé bien plus tôt à pu faire grâce à la connaissance d'un des organisateurs.

On pars ensuite à la recherche d'un ravito ouvert. On trouve une petite brasserie avec un serveur qui n'aime pas le Paris-Roubaix. Dommage, il est pas tombé sur les bons clients. Je découvre les pizzas nordistes : une belle tranche de pain de 2 cm d'épaisseur avec la garniture de la pizza; le tout cuit comme une pizza. C'est bon, mais ce n'est pas top question régime.

L'après-midi se déroule au gré des discussions autours du vélo et des cours de Patrick sur comment dévoiler une roue, la ligaturer, etc... L’après-midi se termine par l'apéro offert par Claude qui fêtait son anniversaire. C'était très cool. 
A part le soleil qui m'a attaqué en traître le midi et le soir et qui me vaut un beau coup de soleil. Mais David a aussi pris comme moi.

Le soir, on va dans un petit resto à Valenciennes que nous avais réservé Christine. On pars à 3 voitures et on arrive à 1 voiture. Le duo qui suivait à pris en chasse la mauvaise voiture et ce sont retrouvé à faire peur à une automobiliste dans un parking isolé. Une fois, assuré de leur méprise, ils sont finalement arrivés au resto.
A 15 personnes, on occupe une bonne partie du resto, mais l'ambiance est sympa et bon enfant. Je fais la connaissance d'une nouvelle spécialité diététique du Nord : le welsh que je prends en modéle madame avec un oeuf et des tomates en plus du welsh de base, qui est constitué d'une tranche de pain (une tradition dirait-on), une tranche de jambon et du fromage. Le tout cuit au four et servi avec des frites. Ce n'est pas très gras, il y a juste une petite mare dans le plat et le pain est bien imbibé. J'ai réussi à venir à bout le plus rapidement de ce plat léger. Je suis "Welsh finisher". 

Après ce petit moment de convivialité, on repars en direction des gîtes et on se couche sur les coups de minuit.

Dimanche 15 mai 2011

Dimanche matin, on se réunit tous dans le gîte pour le petit-déjeuner d'avant la "guerre". Oui, oui, la guerre. On pars affronter l'Enfer du Nord. Chacun avale le breuvage qu'il souhaite déguster et vérifie ou non sa monture. Personnellement, j'ai eu des soucis de chambres à air. Je change donc ma chambre avant le départ. 

A 7h00, on pointe et on rentre dans le box de départ. Un club belge joue déjà des coudes pour aller devant pour faire le start. On sera le 3ème ou 4ème vague, donc on n'est pas pressé. On les laisse passer devant. Mais au klaxon, ils n'avancent pas. Et le plus drôle, c'est qu'ils s'arrêtent tous pour faire une photo devant l'entrée de la Tranchée d'Arenberg. Donc, je n'ai pas trop saisi la subtilité de bousculer les gens pour être devant et ensuite s'arrêter. Mais bon, il reste encore 130 kms.

Cette année, on se balade dans la forêt pour rejoindre le premier secteur pavé. Avant d'arriver à ce secteur, je me fais un bel OTB dans une ornière. Je n'avais fait que 3 km. J'étais un beau dégoutté. Je ne me suis pas blessé, juste que je me suis dit : "La journée va être longue". Le cardio est assez haut dans ce premier secteur, je roule à plus de 90% FCMax avec des pics à plus de 95%. Je sens que je suis dans le rouge mais derrière ça klaxonne donc on avionne le plus possible pour décanter la situation. Je suis assez content au bout de 18 km d'arriver au premier contrôle. Déjà 1h05 d'acouler et j'ai fait connaissance avec mon beau Eole. A ce contrôle, on voit les clubs belges s'afférer autours de leurs voitures suiveuses : je te change la roue, je te laisse mon Camel, etc... On se croirait sur une course.

Dans le deuxième secteur, on a eu à faire à du débalisage le long d'une voie verte. Ca roulait fort mais à un moment, il fallait tourner à droite. Mais les flèches ont été arrachées. Des cons, il y en a partout. On fait demi-tour. Vu que je suis avec des avions de chasse, je préfére les laisser partir et m'arrêter pour faire une photo.

De jolis coquelicots pour ma Chérie.
Je repars entre deux groupes. Je me fais encore et toujours doubler. Je vais faire tout le Paris-Roubaix en solo à lutter seul contre le vent. Le deuxième contrôle a lieu dans une école. Je fais pointer et je prends une photo.

Deuxième contrôle
Avant de repartir en rangeant ma carte de route, je m'aperçois que lors de mon OTB, j'ai perdu l'embout de ma pompe. Bilan, interdiction de crever aujourd'hui. Quelle pression !

Je repars. On croise des groupes qui arrivent au ravito car ils nous font faire une petite boucle de 1 km environ où on se croise. Il y a 25 kms avant le prochain ravito et il y a du dénivelé, vu qu'on monte un sommet du nord, près de Mons-en-Pévèle. Ca monte dur pour moi. Je me mets dans le rouge en étant quasi à ma FCMax (184 puls hier). Une fois passé cet obstacle, on sait qu'il nous reste la moitié du parcours. Peu avant le ravito avec sandwich, je suis repris par Joël qui est parti 1h00 après moi. On roule un peu ensemble et va m'attendre au ravito. C'est cool d'avoir quelqu'un avec qui parlait un peu. Je fais un arrêt rapide, le temps de manger mon sandwich et de boire un peu, je repars avec Joël. Le vent est froid et on commençait à se refroidir. 

Dés le début de ce quatrième secteur, je le laisse partir devant. Je ne peux pas le suivre et je préfère qu'il essaye de rattraper le groupe devant avant le vélodrome afin qu'ils fassent une arrivée groupée. Dans ce secteur des pavés et des chemins et du vent. Le vent m'use à petit feu. Je m'efforce de conserver une cadence de pédalage supérieure à 80 tpm mais je n'ai pas de puissance donc je me traîne à 11 km/h par endroit. Ce n'est pas bon pour le moral. J'ai promis à ma Moitié que je finirai alors je continue au mental. Je commence aussi en avoir au attitude de "champion du monde" de certains clubs qui trouvent le moyen de venir frôler mon guidon sur un chemin large de quatre mètre sans difficulté car plat comme la main et sans trou. J'ai du mal à comprendre cette bêtise. C'est comme cela.

Au dernier ravito, ils annoncent qu'il reste 25 km mais en fait j'en aurais 30 à mon compteur. Mais c'est dû à mon erreur de parcours, je pense. Je fais le plein d'eau et je continue à bien m'alimenter et m'hydrater. Cette année, j'ai pas mal abuser des oranges et des bananes. 

Je repars en mode cool, je sais que je serai dans les délais, mais avant de repartir, je préviens Olivier que j'aurais un peu de retard. C'est moi qui dois le ramener au gîte. Ce secteur nous fait passer par le carrefour de l'Arbre. Ce restaurant est toujours aussi isolé dans la campagne. Je sais qu'il nous reste encore quelques kilomètres, mais que la fin est proche. La fin est proche mais Eole aussi le sait et il continue à jouer avec nous.  Je plains les sudistes avec leur Mistral (gagnant).  La butte de Hem, je dois la faire en courant. En effet devant moi, un gars glisse dans une ornière et je dois m'arrêter. Je ne me sens pas capable de repartir sur le vélo et tenir un rythme rapidement pour éviter de bouchonner. Je la monte donc en courant. Je vais aussi vite que les mecs sur leur vélo. Une fois, cette bosse passée, je sais que la fin est proche. Je me laisse glisser jusqu'au vélodrome en respectant les feux rouges. Les compétiteurs eux ne s'arrêtent pas et ne ralentissent même pas gênant les voitures. Mais bon, des cons, il y en a partout.

Cette année, je tente de tenir dans le premier virage entre les bandes sur le sol. Au prix d'une vitesse de 28 km/h, ça passe. Je me suis toujours demandé à quel moment, j'allais me vautrer devant tout le monde. Et bien, ce ne sera pas pour cette année. 

Content de finir mes 131 km en 7h37. Le parcours fut rendu très dur à cause du vent. Grâce à DPT, je finis dans un excellent état de santé. Car hormis la fatigue rien à signaler. Même le fessier n'est pas douloureux. 

Encore un bon week-end avec les potes de VT.

Température : 5/18°C - Cad moyenne : 80 tpm - FC Moy : 153 puls - FC Max : 184 puls - 132 km

dimanche 8 mai 2011

Arpajon > Bullion > Arpajon

Aujourd'hui, je suis reparti au matin pour une nouvelle sortie que je voulais avec du rythme et de la distance pour continuer à me préparer au Paris-Roubaix.

Le début était comme la veille avec une petite boucle par la Fontaine aux Cossons et une exploration des Yvelines en allant jusqu'à Bullion. Vu que les jambes n'étaient pas vraiment au top au début, j'ai roulé en mode économique et je me suis plaisir en faisant plein de photos.

Petites fleurs jaunes ressemblant à des coquelicots. Je ne sais pas ce que c'est .

A Bruyères-les-Châtel, je remarque pour la première fois cet oeil de boeuf. Il est sympa.

Quatres coquelicots qui n'attendaient que mon passage pour la photo.
En repartant de Bruyères-les-Châtel, peu avant Verville, je me décide de m'arrêter dans la descente pour prendre en photo, une petite chèvre, que j'avais remarqué au cours de mes deux dernières sorties. Apparemment, les trois fois, son piquet d'attache avait changé de place. Je pense qu'elle sert de tondeuse naturelle.

Petite chèvre "tondeuse". Je ne sais pas si elle appartient à Monsieur Seguin.
Jusqu'à Rochefort-en-Yvelines, il n'y a rien à signaler à part que je retrouve progressivement mes jambes et que je décide d'envoyer les watts.

A Longvilliers, je croise l'orchestre de la musique de l'Air, orchestre de l'Armée de l'Air, qui sortait de la petite Mairie en grande tenue. Je pense qu'ils étaient là pour les commémorations de l'Armistice.

En sortant de ce village, il y a un stop où je marque l'arrêt vu qu'il y a une voiture qui arrive. Finalement, elle tourne SANS CLIGNOTANT avant moi. Si cet abruti avait respecté le code de la route en signalant son changement de direction, j'aurais pu repartir plus tôt.

Je reprends la route en essayer de rattraper un petit peloton. Bien sûr, je n'y arrive pas mais je roule vite. Plus de 30 km/h au compteur, pour moi, c'est une nouveauté. J'aperçois des coquelicots. Je m'arrête pour les prendre en photo.

Un peu de rouge dans ce monde de vert.

Sous cet angle, c'est bien plus sympa.
Une fois l'appareil photo rangé, je repars à ma grande surprise à fond. Je suis encore à plus de 30 km/h sans mal et avec un vent venant du Sud, alors que je suis en direction de l'Est. Je prends pas mal de plaisir à lutter avec les pelotons. Mais généralement quand ils me doublent, ils sont vraiment plus rapides et ils me distancent vite. C'est quand même cool qu'avec mon VTT de 14 kg et mon quintal, j'arrive à lutter avec des pelotons aux vélos de 10 kg et aux pilotes de 70 kg. Merci DPT.

J'arrive au Château du Marais. Je m'arrête pour faire la photo obligatoire.

Moins de contre-jour que la veille.
Je finis ma sortie toujours à fond. C'est très intéressant pour la moyenne. J'espère que j'aurais les mêmes jambes le week-end prochain. 


Température : 19/20°C - Cad moyenne : 78 tpm - FC Moy : 143 puls - FC Max : 174 puls - 57 km

Arpajon > Angervilliers > Saint-Cheron > Arpajon

Hier, je suis parti roulé le matin avant de rejoindre ma Miss sur Paris.

J'ai enfilé la tenue courte et le coupe-vent et direction Angervilliers, puis petit passage par Saint-Cheron et retour par Egly.

Vu que je n'avais pas beaucoup de temps et étant donné que j'avais envie de rouler fort en vue du Paris-Roubaix . Je prends un parcours que je connais et que je sais montant pour faire un peu de force.

Cette fois-ci, pas de vent d'Ouest, ni d'Est (sens de ma boucle), juste un peu de vent de Sud qui me fera éviter de monter sur le plateau de la Beauce.

En revenant d'Angervilliers, en direction du Marais, je m'arrête pour faire une photo des "vaches franciliennes".

Elles sont belles les "Vaches Franciliennes"
Vu qu'après cette photo, j'arrive au château du Marais, il est normal que je m'arrête pour une nouvelle photo de mon fil rouge. C'est un modèle bien cool. Il est toujours là à l'heure.

La sécheresse gagne le bassin du château.
Une fois, le salut à mon modèle, je repars en direction de Saint-Cheron. Avec le temps, je suis surpris de mieux négocier la bosse. C'est sympa. On voit que les efforts des entraînements de DPT payent. Un passage en ville et je repars à l'assaut de la bosse de la Petite Beauce. Je fais un détour de curieux par la route d'Héliomonde qui est une impasse bien que pas indiquée comme tel sur les panneaux routiers.

Je bascule dans la vallée de Villeconin. (Un jour, il faudra que j'étudie un peu les cartes pour connaître les noms des rivières qui ont creusées ces vallées). Je ne prends pas la route vers Etréchy qui monte bien, mais je m'arrête pour prendre en photo mes premiers coquelicots de l'année.

Premiers coquelicots photographiés en 2011

Pour être sûr de ne pas le louper.
Une fois, que l'appareil photo est rangé. Je rentre au plus vite à Saint-Yon. A Egly, j'ai failli servir de quilles à un gros con. Mais il n'en fut rien. J'ai quand même bien montré mon mécontentement.

Au final, je me suis bien fait plaisir en roulant fort tout en faisant du dénivelé positif. Je commence de plus en plus à aimer rouler sur la route. Vais-je devenir un VTTiste repenti ? La réponse dans le futur.


Température : 15/20°C - Cad moyenne : 81 tpm - FC Moy : 148 puls - FC Max : 185 puls - 43 km

vendredi 6 mai 2011

Arpajon > Vaugrigneuse > Arpajon

Bonsoir,

Ce soir, vu que ma moitié est partie en soirée filles, je me suis fait une soirée vélo. Comme cela pas de jaloux. Donc, en rentrant du travail, je suis parti me faire une petite boucle que j'ai écourté à cause d'une petite peur de pluie alors que je n'étais pas équipé pour.

Mercredi soir, j'ai fait un peu de mécanique en vue du Paris-Roubaix. Mon câble de dérailleur avant avait quelques brins cassés. Je l'ai donc changé par un neuf. Ce soir, c'était le rodage. Bonne nouvelle, tout fonctionne correctement.

J'ai emmené mon appareil photo avec moi, pour voir ce qui a changé depuis une semaine sans ma visite. Je constate que dans les champs, il y a de nouveau des fleurs jaunes. Mais ce n'est pas du colza. Je ne sais pas ce que c'est mais c'est joli.

Les fleurs jaunes remplacent le colza dans les prairies.
Je continue ensuite en direction du fil rouge pour je lui fasse un petit coucou.

Le Château du Marais en cette soirée couverte
Sur le retour, j'ai du faire demi-tour bloqué à un passage à niveau fermé. Le train était arrêté en gare mais ne repartait pas. Donc les barrières restaient baissées. Cela à créé un beau bouchon à Port-Sud alors que d'habitude, il n'y a pas âme qui vive. Merci la SNCF, sans vous c'est vraiment foutu. 

Au bout de 5 min, j'ai, donc, fait demi-tour et je suis passé par les bords de l'Orge. Ce sont des chemins stabilisés et roulants. Dans ces conditions, je suis bien content d'avoir des Marathons, qui sont passe-partout.

Au final, ce fut une bonne sortie avec du rythme. Maintenant, direction le lit pour récupérer de ces sains efforts. 


Température : 24°C - Cad moyenne : 81 tpm - FC Moy : 146 puls - FC Max : 176 puls - 30 km